Comme tous les ans, tradition oblige, l’AVAM organisait une sortie de 3 jours, cette année dans les Pyrénées et plus particulièrement au Pays basque.
Nous sommes donc partis de bon matin, comme dans la chanson, vers notre première étape, café croissants sur le parking du Leclerc de Mios.
Bien réconfortés nous sommes repartis en direction du restaurant Fratelli, à Tarnos, où nous attendait un excellent repas.
S’en est suivie une laborieuse recherche d’un garage susceptible de réparer un pneu crevé un week-end de Pentecôte. Mission accomplie nous avons repris la route pour une visite de Saint Jean de Luz en petit train.
Après une balade en ville la sortie du parking sous terrain s’avéra assez impressionnante.
Arrivés au Campanile nous avons pris possession de nos chambres, réservées pour les deux nuits puis avons été dîner au Courtepaille, juste à côté de l’hôtel. Les connaisseurs ont apprécié l’andouillette, spécialité de l’enseigne.
Une bonne nuit de repos, et direction Cambo-Les-Bains pour la visite de la magnifique Villa Arnaga, propriété d’Edmond Rostand. Une course de vélo locale nous a détourné vers un tas de petites routes sinueuses dont on ne soupçonnait même pas l’existence mais finalement bien agréables.
Direction l’Espagne pour déjeuner à Dancharia et faire quelques emplettes dans les « Ventas ». Etape à l’Atelier du Piment, à Espelette où une visite bien documentée nous a appris plein de choses sur cet épice et son utilisation. Après un atelier de dégustation du piment sous ses différentes formes, passage par la boutique puis après avoir un peu flâné en ville, retour à l’hôtel, où nous attendait patiemment une Peugeot grisonnante et qui s’était un peu oubliée du côté du filtre à huile. Tout étant rentré dans l’ordre avec un joint neuf, dîner au Courtepaille.
Le lundi matin, visite de l’atelier de tissage Lartigue, à Ascain. En repartant, nous savions tout sur le tissage des réputés tissus basques. Un accueil chaleureux et un repas délicieux à La Petite Auberge d’Ustaritz et nous nous sommes retrouvés sur le chemin du retour.
Bien rentrés, parfois sous une pluie battante de ce long périple de 720 kilomètres qui restera sans aucun doute gravé dans nos mémoires.